« "Les RĂ©publicains" France»

« "Les RĂ©publicains" France»
2011 CrĂ©ation. From Paris, France. Par Morgane BRAVO *Avocat de formation, Ă©tudes & expĂ©rience Diplomatique, Sciences Politiques... Candidate LĂ©gislatives 2002, XVIe sud (14Ăšme circonscription) Paris (75). « EDGERYDER Â» Conseil de l’Europe & Commission EuropĂ©enne. « EUROBLOGGER Â»...*2016 Candidate "PremiĂšres Ă©lections des RĂ©publicains" au ComitĂ© de Circonscription et ConseillĂšre Nationale. 4Ăšme Circonscription 92. Suresnes - Nanterre. *Depuis 2004-Ă  ce jour! AdhĂ©rente "LR", puis Premier Membre Fondateur "Les RĂ©publicains".

samedi 31 mars 2012

*Suivez la campagne de Nicolas Sarkozy sur votre Iphone‏*























DĂ©couvrez et suivez toute la campagne de Nicolas Sarkozy sur votre iPhone. Bilan de 5 ans d'actions, actualitĂ©s, agenda, vidĂ©os et photos vous permettrons de suivre au quotidien toute la campagne. 


BientĂŽt de nouvelles fonctionnalitĂ©s pour militer prĂšs de chez vous.  

*Discours de Nicolas Sarkozy : rassemblement des jeunes pour la France forte*

mercredi 28 mars 2012

*Discours de Nicolas Sarkozy Ă  Elancourt*

*Pour Bernadette Chirac, Nicolas Sarkozy est le meilleur !*

*Christian DUPUY : Pourquoi je soutiens Nicolas SARKOZY sans réserve*

Pourquoi je soutiens Nicolas SARKOZY sans réserve.

VoilĂ  plus de trente ans que je connais Nicolas SARKOZY.

Les premiĂšres fois oĂč je l’ai rencontrĂ©, j’étais agacĂ© par ce « jeune loup Â» (il a quatre ans de moins que moi) qui semblait animĂ© par une permanente impatience et une ambition dĂ©vorante.

J’ai par la suite compris qu’il avait une insatiable soif d’action.
Nicolas SARKOZY n’est pas un spectateur, encore moins un commentateur.
Non, il veut agir !
Agir sur le concret, faire bouger les choses, combattre les idées reçues, ne jamais se résigner à quelque fatalité que ce soit.
Nicolas SARKOZY a déboulé dans la vie politique française comme un éléphant dans un magasin de porcelaine.
Il détone dans un monde si convenu.
Il bouscule les convenances non par esprit dĂ©libĂ©rĂ© de provocation mais simplement parce qu’il s’affranchit de tous les codes, de tous les prĂ©jugĂ©s. Parce qu’il est un esprit libre et qu’il s’est construit un corpus idĂ©ologique totalement indĂ©pendant de tout maĂźtre Ă  penser avec pour seul guide la recherche permanente de l’action la plus appropriĂ©e Ă  une circonstance donnĂ©e.

En ce sens il est le plus « Gaulliste Â» de tous les personnages politiques actuels.
Il est aussi surtout d’un courage stupĂ©fiant.
Ce courage s’est rĂ©vĂ©lĂ© aux yeux de tous lors de la prise d’otages des Ă©lĂšves de l’école maternelle de Neuilly par celui qui se faisait appeler « HB Â».
Il n’a pas hĂ©sitĂ© Ă  aller, dĂ©sarmĂ© au devant du forcenĂ© bardĂ© d’explosifs pour «  nĂ©gocier Â» le sauvetage, un par un, des enfants retenus prisonniers par cet homme incontrĂŽlable.

En 2007, il a su incarner une vĂ©ritable rupture et convaincre des hommes et des femmes de tous les Ăąges, de tous les milieux, de toutes les convictions qu’il pouvait reprĂ©senter un vĂ©ritable espoir de renouveau pour notre RĂ©publique.

Or, ce pourquoi les Français l’avaient Ă©lu a Ă©tĂ©, sitĂŽt le bref « Ă©tat de grĂące Â» passĂ©, le principal grief que lui ont opposĂ© tout ce que notre pays compte de conservatisme, de bonnes consciences autoproclamĂ©es Ă  peu de frais, de dĂ©fenseurs d’une prĂ©tendue bien-pensance qui n’est que le masque de la dĂ©fense de privilĂšges indus.

Lorsque l’on voit d’anciens sportifs, exilĂ©s fiscaux, vouer Nicolas SARKOZY aux gĂ©monies ;

lorsque l’on entend les responsables de centrales syndicales parmi les moins reprĂ©sentatives au monde prĂ©tendre qu’ils dĂ©fendent les intĂ©rĂȘts des travailleurs en s’opposant coĂ»te que coĂ»te Ă  une rĂ©forme des retraites qui n’avait d’autre but que de sauver leur financement et d’éviter de « refiler Â» la note aux jeunes gĂ©nĂ©rations ;

lorsque l’on entend l’allali de la quasi totalitĂ© des journalistes, des saltimbanques, des commentateurs narcissiques de la vie politique française et de tout ce que notre pays compte de bobos qui dissimulent leur Ă©goĂŻsme profond derriĂšre une apparence d’altruisme bienveillant et compassionnel qui se limite au verbe et se concrĂ©tise rarement en actes ;

alors on comprend que les tenants de la rĂ©volution verbale germano-pratine (collabos sous l’occupation, rĂ©sistants aprĂšs la libĂ©ration et maoĂŻstes en mai 68) ne veulent pas de la rupture qui compromet leur totalitarisme intellectuel d’arbitres des Ă©lĂ©gances idĂ©ologiques.
Les 53% de Français qui avaient su se libĂ©rer de cette emprise pernicieuse en 2007 doivent se ressaisir, refuser de se laisser dicter par ces « bonnes Ăąmes Â» qui les ont toujours trompĂ©s ce qu’il est « convenable Â» de dire, de faire, de penser ou de voter.

Nicolas SARKOZY a tenu ses engagements : il a sauvĂ© nos retraites, il a fait l’autonomie des universitĂ©s, il a remis l’Europe sur les rails, il a crĂ©Ă© le G20 qui prĂ©figure la gouvernance mondiale qui pourrait nous mettre Ă  l’abri de nouvelles crises comme les crises financiĂšres et de la dette publique qui ont marquĂ© ces derniĂšres annĂ©es.
Il a mĂȘme tenu l’engagement qui concernait la dĂ©fense du pouvoir d’achat.

La France est le pays de la zone euro qui a connu la meilleure progression du pouvoir d’achat ces derniĂšres annĂ©es malgrĂ© la crise.
Ce n’est pas Nicolas SARKOZY qui l’affirme, ce sont l’INSEE et l’OCDE qui le constatent.

Bien sĂ»r certains de nos compatriotes on vu leur pouvoir d’achat baisser parce qu’ils ont perdu leur emploi ou parce qu’ils sont passĂ©s d’une activitĂ© professionnelle Ă  la retraite mais cela  serait vrai avec n’importe quel prĂ©sident Ă  l’ElysĂ©e.

En revanche le pouvoir d’achat moyen des Français a bel et bien progressĂ©, notamment grĂące aux heures supplĂ©mentaires sans charges et non imposables ou Ă  la dĂ©fiscalisation des petites successions.

Certes, le chĂŽmage s’est davantage aggravĂ© qu’en Allemagne mais on omet de dire que les travailleurs allemands ont dĂ» accepter des baisses de salaire pour garder leur emploi, que l’Allemagne compte plus de travailleurs pauvres que la France et surtout que le taux de travail des femmes y est moitiĂ© moins important qu’en France, les « femmes au foyer Â» allemandes n’étant pas comptĂ©es parmi les chĂŽmeurs.
Enfin, Nicolas SARKOZY sait avec qui il gouvernera s’il est rĂ©Ă©lu, ce qui n’est le cas d’aucun des autres candidats qui ne pourront s’appuyer sur aucune majoritĂ© parlementaire cohĂ©rente : quelle cohĂ©rence entre le PS, le Front de gauche et les Verts ? Quelle cohĂ©rence, au sein mĂȘme du PS, entre François HOLLANDE, Martine AUBRY, Manuel VALLS, Arnaud MONTEBOURG
 Sans parler de Dominique STRAUSS KAHN ?

Je comprends que Nicolas SARKOZY agace (mĂȘme ses propres amis parfois) mais c’est parce qu’il ne se laisse pas enfermer dans des prĂ©supposĂ©s et qu’il est capable de faire face aux situations les plus diverses en trouvant des solutions innovantes et parfois dĂ©routantes par leur nouveautĂ© mais toujours dictĂ©es par l’intĂ©rĂȘt supĂ©rieur de la nation.

Dans la pĂ©riode de turbulences mondiales telle que nous la vivons aujourd’hui, il est le seul Ă  pouvoir garantir Ă  la France de continuer Ă  ĂȘtre  dĂ©fendue et entendue Ă  l’échelle planĂ©taire.
Il est le seul Ă  ĂȘtre dotĂ© du courage de poursuivre l’Ɠuvre rĂ©formatrice indispensable pour assurer le sauvetage de notre modĂšle Ă©conomique et social.

VoilĂ  les raisons pour lesquelles je soutiens Nicolas SARKOZY et crois Ă  sa victoire qui sera celle de la France.
 Christian Dupuy 
Maire de SURESNES

Bien Ă  vous,

lundi 26 mars 2012

*La France est une grande dĂ©mocratie qui ne cĂ©dera Ă  aucune menace‏*

Sur Facebook, devenez Ambassadeur de la France forte et gagnez des badges Mes chers amis,

La semaine que nous venons de vivre a été particuliÚrement éprouvante.

Un assassin a voulu, selon ses propres mots, « mettre la France Ă  genoux Â» en enlevant la vie de trois enfants, de quatre militaires et d’un enseignant.

Comme vous le savez, j’ai immĂ©diatement interrompu ma participation Ă  la campagne prĂ©sidentielle pour assumer pleinement mon devoir de PrĂ©sident de la RĂ©publique et de chef des armĂ©es. Je me suis rendu le jour mĂȘme Ă  Toulouse pour ĂȘtre aux cĂŽtĂ©s des enfants, des familles des victimes et pour donner au ministre de l’intĂ©rieur et aux forces de sĂ©curitĂ© les instructions les plus fermes pour identifier et retrouver l’auteur de ces actes monstrueux. J’ai rĂ©uni, ensemble, en signe d’unitĂ© nationale, des reprĂ©sentants de la communautĂ© juive et du culte musulman. Une minute de silence a Ă©tĂ© organisĂ©e dans toutes les Ă©coles de France Ă  la mĂ©moire de ces enfants martyrisĂ©s et des mesures drastiques ont Ă©tĂ© prises pour lutter contre les propagateurs de haine et de violence, des mesures que je ferai immĂ©diatement voter en mai, si les Français me font confiance. Mercredi, j’étais Ă  Montauban pour rendre un hommage solennel Ă  nos trois soldats français abattus parce qu’ils Ă©taient l’armĂ©e française, parce qu’ils incarnaient la RĂ©publique. J’ai tenu Ă©galement Ă  rendre hommage aux hommes du RAID qui ont risquĂ© leur vie pour mettre ce tueur, qui a voulu semer la haine et la terreur dans notre pays, hors d’état de nuire.

Face à cette tragédie nationale, la France rassemblée a donné une magnifique image de dignité.

Aujourd’hui, si nous ne pouvons et ne devons rien oublier, la campagne prĂ©sidentielle a repris ses droits. Je me suis rendu jeudi, Ă  Strasbourg, pour parler des valeurs morales qui sont le fondement de notre Nation et de notre RĂ©publique. Vendredi, j’étais avec Jean- Louis Borloo Ă  Valenciennes, ville mĂ©tamorphosĂ©e par la rĂ©novation urbaine, pour annoncer un nouveau plan pour dĂ©senclaver nos quartiers et transformer la vie de leurs habitants. Hier encore, Ă  Rueil Malmaison, j’ai dĂ©fendu mon projet d’une France forte dans une Europe forte, de la production et de l’emploi.

Mes chers amis, il nous reste un mois pour bĂątir la plus formidable aventure, un mois pour bousculer toutes les certitudes. Aidez-moi Ă  construire la France forte, Ă  faire triompher nos idĂ©es, nos valeurs, notre idĂ©al. J’ai besoin de vous.

Avec toute mon amitié, La France se construit avec vous.
La France forte, c'est vous. Nicolas Sarkozy Nicolas Sarkozy          

vendredi 23 mars 2012

*Discours de Nicolas Sarkozy Ă  Strasbourg*




Nicolas Sarkozy, Ă  Strasbourg : 

« De ces annĂ©es de crise, je tire une conviction profonde : la pĂ©riode que nous vivons est dĂ©cisive pour l’avenir du monde. Â»




Les crimes d’un « monstre Â»
A Strasbourg, ce jeudi 22 mars, Nicolas Sarkozy est revenu sur les terribles drames de Montauban et de Toulouse oĂč 3 enfants, un professeur et 4 militaires ont Ă©tĂ© assassinĂ©s.
« Ces crimes ne sont pas les crimes d'un fou parce qu'un fou est irresponsable. Ces crimes sont ceux d'un monstre et d'un fanatique. (
) Ce crime doit ĂȘtre regardĂ© pour ce qu’il est : un acte inacceptable pour la conscience,  pour la civilisation, pour la sociĂ©tĂ©. Â», a-t-il affirmĂ© avec Ă©motion.
« Ceux qui seraient tentĂ©s de s'enfermer dans une hostilitĂ© radicale Ă  la RĂ©publique, ceux qui voudraient l'abattre, ceux qui par leurs propos, leurs comportements encourageraient le fanatisme et feraient prĂ©valoir des idĂ©es qui sont contraire Ă  nos valeurs, ceux-lĂ  doivent comprendre que la RĂ©publique n'aura Ă  leur Ă©gard aucune indulgence Â», a poursuivi Nicolas Sarkozy, rappelant les mesures qu’il avait dĂ©cidĂ©es le jour mĂȘme.
Un arsenal pénal renforcé
  1. La consultation habituelle de sites internet qui font l’apologie du terrorisme ou qui appellent Ă  la haine et Ă  la violence sera punie pĂ©nalement. Avec cette mesure, le PrĂ©sident de la RĂ©publique souhaite Ă©tend au terrorisme un mĂ©canisme dĂ©jĂ  en vigueur contre la pĂ©dopornographie en ligne.
  2. Toute personne se rendant Ă  l’étranger pour y suivre des travaux d’endoctrinement Ă  des idĂ©ologies conduisant au terrorisme sera punie pĂ©nalement
  3. La propagation de ces idéologies extrémistes sera réprimée par un délit figurant dans le code pénal
  4. Une étude sera conduite par le Garde des Sceaux sur la propagation des idéologies dans le milieu carcéral.
« La France est une grande dĂ©mocratie qui ne cĂ©dera jamais Ă  aucune menace Â» a-t-il affirmĂ© en invoquant Ă  plusieurs reprises le GĂ©nĂ©ral De Gaulle et en faisant siens ses mots : « Si nous n’étions pas le peuple français, nous pourrions reculer devant la tĂąche (
) Mais nous sommes le peuple français ! Â».
La défense de nos valeurs en France et dans le monde
« Trop longtemps, au nom de la stabilitĂ©, nous avons tolĂ©rĂ© des rĂ©gimes qui n’avaient rien Ă  voir avec nos valeurs Â» a condamnĂ© le PrĂ©sident de la RĂ©publique. Il a rappelĂ© combien, depuis 5 ans, la France avait toujours assumĂ© ses responsabilitĂ©s, dĂ©fendu ses valeurs et fait entendre sa voix dans le monde, que ce soit lors de la ConfĂ©rence de Copenhague sur le climat, lors des conflits en GĂ©orgie, en Libye comme en CĂŽte d’Ivoire, dans son initiative pour bĂątir l’Union pour la MĂ©diterranĂ©e, comme dans son combat au sein du Conseil de sĂ©curitĂ© pour sanctionner le rĂ©gime syrien et le rĂ©gime iranien.
La France Ă  la tĂȘte de l’Europe face Ă  la crise mondiale
Plus que tout, la France « les a assumĂ©es lorsqu’elle exerçait la prĂ©sidence de l’Union europĂ©enne en 2008 au  moment oĂč une crise financiĂšre sans prĂ©cĂ©dent a failli emporter le monde Â». Gouvernance Ă©conomique de la zone, soutien Ă  la GrĂšce menacĂ©e de faillite, « c’est la France qui a rĂ©clamĂ© la rĂ©forme de la finance mondiale et la lutte contre les paradis fiscaux, la taxe sur les transactions financiĂšres, la lutte contre la spĂ©culation sur les marchĂ©s de matiĂšres premiĂšres et l’avenir de l’agriculture mondiale.

« La mondialisation sans rĂšgles, sans rĂ©ciprocitĂ©, c’est fini Â»
« Nous n’avons pas le droit d’échouer Â». Nous sommes Ă  une pĂ©riode charniĂšre pour le PrĂ©sident de la RĂ©publique, alors que « la mondialisation sans rĂšgles, sans rĂ©ciprocitĂ© (
) la toute puissance des marchĂ©s, (
) la pensĂ©e unique, c’est fini Â».
« De ces annĂ©es de crise, je tire une conviction : la pĂ©riode que nous vivons est dĂ©cisive pour l’avenir du monde Â» a-t-il ajoutĂ©.
Aujourd’hui, Nicolas Sarkozy entend que Â« la France plaide pour un nouvel ordre mondial Â» dans lequel le « libre Ă©change absolu Â» ne serait plus la rĂšgle, oĂč les droits d’un homme primeront sur ceux de la marchandise, et oĂč toute l’architecture des grandes nĂ©gociations internationales serait reconsidĂ©rĂ©e, imposant notamment plus de devoirs et de responsabilitĂ©s aux pays Ă©mergents.
Une France forte dans une Europe forte
Une France forte dans une Europe forte, voilĂ  le message qu’est venu porter Nicolas Sarkozy car « pour faire avancer ses idĂ©es, la France n’a pas d’autre levier que l’Europe Â». Pour le candidat, il faut Ă  tout prix Ă©viter Ă  l’Europe de « retomber dans la routine bureaucratique Â» mais au contraire l’amener Ă  mettre en Ɠuvre les rĂ©formes indispensables qui l’aideront demain Ă  dĂ©fendre ses intĂ©rĂȘts, Ă  protĂ©ger ses citoyens.
« Tout part du travail, de l’emploi et non pas de la consommation. Il faut faire l’Europe de la production, l’Europe de l’emploi et pas l’Europe de la consommation parce qu’un consommateur qui perd son emploi et son salaire ne peut plus consommer grand-chose ! Â» a-t-il assĂ©nĂ©.
RĂ©itĂ©rant certaines des propositions formulĂ©es Ă  Villepinte, Nicolas Sarkozy a plaidĂ© pour un gouvernement politique de Schengenune convergence du droit des Ă©trangers et des politiques migratoires, tout comme il y a dĂ©sormais une convergence Ă©conomique et un gouvernement de la zone euro.
Nicolas Sarkozy a Ă©galement fermement dĂ©fendu l’engagement des soldats français en Afghanistan alors que le candidat socialiste imagine un retrait immĂ©diat des forces. « Ce que la France a de plus prĂ©cieux au fond, c’est son honneur. Et l’honneur de la France, c’est sa parole. Abandonner nos alliĂ©s du jour au lendemain, ce serait trahir la mĂ©moire de nos soldats. Ce serait dĂ©shonorer la France Â» a-t-il poursuivi.
Au candidat de dĂ©fendre, ensuite,  le retour de la France dans le commandement intĂ©grĂ© de l’OTAN Â« parce que la dĂ©fense europĂ©enne ne se construira pas contre l’Alliance Atlantique mais avec elle Â»
Nicolas Sarkozy s’y est engagĂ© : son premier voyage prĂ©sidentiel, si les Français lui accordent Ă  nouveau leur confiance, sera pour rĂ©affirmer l’amitiĂ© de la France Ă  l’Allemagne, avant de se rendre 
« auprĂšs du peuple israĂ©lien et du peuple palestinien pour faire avancer la Paix »

Bien Ă  vous,





*Strasbourg : Une France forte dans une Europe forte*


jeudi 22 mars 2012

*La PrĂ©sidence française de l’Union europĂ©enne de 2008*


La PrĂ©sidence française de l’Union europĂ©enne a Ă©tĂ© unanimement reconnue pour sa capacitĂ© Ă  rĂ©soudre les crises. Lors du conflit russo-gĂ©orgien de l’étĂ© 2008, c’est l’intervention de Nicolas Sarkozy, en tant que prĂ©sident de l’Union europĂ©enne, qui a permis d’obtenir la cessation des hostilitĂ©s cinq jours seulement aprĂšs leur dĂ©clenchement, de sauvegarder l’indĂ©pendance de la GĂ©orgie et d’engager un processus de rĂšglement politique de la crise.
L’Europe, emmenĂ©e par la France, a Ă©galement Ă©tĂ© un moteur pour organiser la coopĂ©ration internationale face Ă  la crise Ă©conomique et financiĂšre : le plan europĂ©en de soutien aux banques, adoptĂ© Ă  l’initiative de la France, a permis d’éviter l’effondrement complet du systĂšme financier. C’est Ă©galement Nicolas Sarkozy qui, au nom de l’Europe, a demandĂ© un sommet mondial pour faire face ensemble Ă  la crise financiĂšre et qui a conduit au premier sommet du G20.
MalgrĂ© les crises successives, la PrĂ©sidence française de l’Union europĂ©enne a menĂ© Ă  bien ses objectifs ambitieux. En adoptant le paquet Ă©nergie-climat, l’Europe a confirmĂ© son rĂŽle moteur dans la lutte contre le changement climatique. Aucune autre rĂ©gion au monde ne s’est fixĂ©e un tel niveau d’exigence (20 % de rĂ©duction des Ă©missions de gaz Ă  effet de serre par rapport Ă  1990 ; 20 % d’énergies renouvelables ; 20 % d’efficacitĂ© Ă©nergĂ©tique supplĂ©mentaire d’ici 2020).
L’adoption du Pacte europĂ©en sur l’asile et l’immigration a, pour la premiĂšre fois, posĂ© les principes d’une vĂ©ritable politique europĂ©enne de l’immigration.
En matiĂšre de politique agricole, la PrĂ©sidence française a permis le lancement du dĂ©bat sur l’avenir de la PAC. Elle a aussi initiĂ© une relance de l’Europe de la DĂ©fense. C’est Ă  son initiative qu’a Ă©tĂ© lancĂ©e l’opĂ©ration navale ATALANTE de contre-piraterie au large des cĂŽtes de Somalie.

PrĂ©sidence française de l’Union europĂ©enne (du 1er juillet au 31 dĂ©cembre 2008) :

*BREF APERCU : Conférence sur la cohésion territoriale...*
http://unioneuropeenne.blogspot.fr/2008/10/confrence-sur-la-cohsion-territoriale_31.html

* BREF APERCU : Conférence sur la responsabilité sociale des entreprises...*
http://unioneuropeenne.blogspot.fr/2008/10/bref-apercu-confrence-sur-la.html

* ArĂšnes europĂ©ennes de l’indĂ©pendance : PrĂ©sidence française...*
http://unioneuropeenne.blogspot.fr/2008/10/arnes-europennes-de-lindpendance.html
*BREF APERCU : Colloque "SĂ©curitĂ© sociale et dĂ©fis dĂ©mographiques Â» PrĂ©sidence..*
http://unioneuropeenne.blogspot.fr/2008/11/bref-apercu-colloque-scurit-sociale-et.html
*BREF APERCU : CONFERENCE « MOBILITES DES TRAVAILLEURS Â»*
http://unioneuropeenne.blogspot.fr/2008/09/presidence-franaise-du-conseil-de.html

*"Climat- l'heure des choix" : Conférence Du Grenelle de l'environnement à la Présidence française de l'Union européenne...*

http://unioneuropeenne.blogspot.fr

http://la-mondialisation.blogspot.fr

Bien Ă  vous,

*Le rĂŽle moteur de Nicolas Sarkozy en Europe*


Le jour mĂȘme de son entrĂ©e en fonction le 16 mai 2007, Nicolas Sarkozy avait, quelques heures aprĂšs son investiture, rendu visite Ă  la ChanceliĂšre d'Allemagne Angela Merkel Ă  Berlin. EuropĂ©en convaincu que l’Europe et l’euro sont les plus belles rĂ©alisations au service de la paix et de l’entente des peuples sur le continent, il a tout d’abord contribuĂ© Ă  la relance politique de l’Union europĂ©enne, mettant Ă  profit la PrĂ©sidence française de l’Union europĂ©enne de 2008 (PFUE). DĂšs que la crise Ă©conomique et financiĂšre a Ă©clatĂ©, il s’est immĂ©diatement et totalement investi, en lien Ă©troit avec nos partenaires allemands, pour que l’Europe y apporte une rĂ©ponse rapide et parvienne Ă  sauvegarder notre monnaie commune.


C’est la proposition de Nicolas Sarkozy d’un traitĂ© simplifiĂ© qui a donnĂ© naissance au traitĂ© de Lisbonne et permis Ă  l’Union europĂ©enne de sortir de l’impasse institutionnelle dans laquelle elle se trouvait depuis plus de dix ans.
DĂšs le dĂ©but de sa campagne prĂ©sidentielle, Nicolas Sarkozy avait lancĂ© l’idĂ©e d’une Union pour la MĂ©diterranĂ©e (UpM), destinĂ©e Ă  crĂ©er entre les deux rives de la MĂ©diterranĂ©e un vĂ©ritable espace de coopĂ©ration et de dialogue, qui rapprocherait les peuples en s’appuyant sur des projets concrets. Le Sommet pour la MĂ©diterranĂ©e du 13 juillet 2008 Ă  Paris, auquel ont participĂ© quarante-deux chefs d’État et de gouvernement, a Ă©tĂ© un grand succĂšs et a marquĂ© le coup d’envoi de l’UpM Ă  travers le lancement de six projets de coopĂ©ration concrĂšte : dĂ©pollution de la MĂ©diterranĂ©e, autoroutes maritimes et terrestres, enseignement universitaire et plan solaire mĂ©diterranĂ©en. Les printemps arabes ont montrĂ© que la vision qui sous-tendait le projet d’UpM Ă©tait juste. Ils donnent Ă  l’UpM l’occasion de se refonder avec encore plus d’ambition.
Plus rĂ©cemment, c’est Nicolas Sarkozy qui a su convaincre nos partenaires de la nĂ©cessitĂ© de l’instauration d’une taxe sur les transactions financiĂšres afin que la finance puisse contribuer Ă  rĂ©parer les dĂ©gĂąts qu’elle a elle-mĂȘme causĂ©s. La France sera la premiĂšre Ă  la mettre en Ɠuvre, pour montrer l’exemple, dĂšs aoĂ»t 2012.